L’épreuve de montée impossible consiste à parcourir la plus longue distance sur une pente raide et accidentée sans descendre du monocycle.

L’épreuve est ouverte à toutes les catégories (âge) de compétiteurs. Cette épreuve s’organise par catégorie. Les catégories sont constituées, par sexe et par âge.

Chaque concurrent a droit à 2 essais.

Aucun appel ne sera fait : cette épreuve est en « libre accès ». Les concurrents se présentent au moment de leur choix durant le créneau définit pour l’épreuve, en fonction de leurs disponibilités. Un compétiteur se présentant après la fin de l’épreuve ne peut pas demander à participer.

Les départs se font de manière individuelle. Les compétiteurs sont autorisés à se tenir à un support.

Les compétiteurs placent l’avant de leur pneu derrière le bord de la ligne de départ qui est la plus éloigné de la ligne d’arrivée. Le roulement en avant n’est pas autorisé, cependant le roulement en arrière est toléré. Les compétiteurs peuvent se pencher lorsque le starter annonce le départ imminent mais leur roue ne peut à aucun moment avancer.

Pour les départs, les compétiteurs peuvent se placer plus en arrière de la ligne s’ils le souhaitent.

Départ

Pour chaque essai, le concurrent se place en position de départ. Une fois prêt, il l’annonce à l’arbitre. Après avoir vérifié que le parcours est dégagé, l’arbitre annonce au candidat qu’il peut partir quand il veut.

Le chronomètre est lancé lorsque le monocycliste franchit la ligne de départ.

L’essai se termine lorsque le concurrent ou une partie de son équipement touche le sol ou un élément du parcours (arbre, poteau, rubalise, …) ou qu’il termine le parcours.

Lorsque l’essai se termine, le temps réalisé est relevé.

Mesure de l’essai

Lorsque l’essai est terminé, l’arbitre attend que le concurrent et son monocycle s’immobilisent. L’arbitre procède alors à la mesure de la distance parcourue. La mesure qui est prise en compte traduit la distance entre la ligne de départ et le concurrent. Le monocycle est considéré comme faisant parti du concurrent pour la prise de mesure. C’est la partie du concurrent qui est le plus proche de la ligne de départ qui est prise en compte pour la mesure.

Parcours

Le parcours est clairement délimité. Ces délimitations peuvent être naturelles (chemin, falaises, …) ou artificielles (piquets, rubalises, …). Il comprend également une ligne de départ et une ligne d’arrivée.

Le terrain peut se transformer au fur et à mesure des passages des participants. Aucun aménagement ni remise en état de la piste n’est possible durant toute la durée des épreuves.

Déplacements autorisés

Les déplacements doivent se faire exclusivement sur le monocycle. Les déplacements peuvent se faire en roulant ou en sautant.
La marche arrière, en roulant ou en sautant, est autorisée. Dans ce cas, si le monocycliste tombe, sa distance actuelle est mesurée.

Aucune partie du corps ne peut toucher le sol lors des déplacements.

Le classement est réalisé par catégorie, en fonction de la distance parcourue et du temps. Le meilleur résultat est la distance la plus longue. En cas d’égalité, le meilleur résultat est décidé par le temps le plus court. Comme indiqué dans le règlement général, certaines catégories peuvent être regroupées en fonction du nombre de participants.

Le résultat retenu pour déterminer le classement d’un compétiteur est le meilleur de ses 2 essais.